Atelier 5 : Consentement
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Empathie : La capacité à comprendre et à partager les sentiments d'une autre personne. Parfois, cela se produit spontanément, comme lorsque tu ris avec une personne qui rit de manière incontrôlée. Tu peux aussi choisir de réagir avec empathie en utilisant des compétences comme l'écoute active et la réverbération.
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Témoin actif·ve : Il s'agit d'une personne qui prend des mesures actives pour intervenir dans une situation où un préjudice se produit ou risque de se produire, que ce soit en ligne ou en personne. Lorsque tu es un·e témoin actif·ve, n'oublie pas de suivre les règles A, B et C :
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Assure-toi qu’il est sécuritaire d’intervenir. Ne te mets pas en danger en intervenant. Si la situation est dangereuse, appelle les autorités à l'aide.
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Bouge en groupe. Quand tu agis en groupe, ta capacité à intervenir en toute sécurité est renforcée. Plus vous êtes nombreux, plus votre influence peut être grande. Par exemple, une personne peut rester avec la ou les victimes tandis qu'une autre va chercher plus de soutien.
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Communique afin d’aider. Demande aux victimes de la situation si elles vont bien. Détermine si elles ont besoin d'une assistance médicale ou d'un autre type de soutien, et cherche à l'obtenir. Offre toute autre ressource que tu juges utile.
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Relations
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Consentement : Donner son consentement signifie accepter de faire quelque chose. Dans les relations sexuelles et intimes, le consentement sexuel consiste à donner la permission de faire ou de recevoir toute forme d'activité sexuelle (depuis les attouchements et les baisers jusqu'à la pénétration). De nombreux aspects du consentement sexuel sont importants à comprendre. Le consentement :
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est toujours requis, peu importe le ou la partenaire, le contexte ou l’acte sexuel
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est donné librement (sans menaces, pression ou coercition)
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est enthousiaste
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est informé (une personne doit savoir à quoi elle consent)
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peut être retiré à tout moment
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peut être donné pour certaines activités, et non pour d'autres
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n'est jamais pris pour acquis
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peut être communiqué verbalement et non verbalement.
Le consentement ne peut pas se produire lorsque :
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une personne est en situation d'incapacité
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une personne a moins de 16 ans (moins de 18 ans dans certaines circonstances)
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il y a un abus de pouvoir
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des menaces, de la coercition, de la pression ou la force physique sont utilisées contre la personne.
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Relation saine : Dans une relation saine, tu te sens à l’aise avec toi-même et ton ou ta partenaire la plupart du temps. Vous vous sentez respecté·es et il y a de la gentillesse, de la confiance, de l'honnêteté, de l'égalité et une bonne communication. Vous vous donnez également la possibilité d'avoir vos propres vies en dehors de la relation.
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Relation malsaine : Dans une relation malsaine, tu rencontres souvent des problèmes de communication, de respect, de limites, de sécurité et de confiance, entre autres. Tu peux ressentir de l'anxiété, de la confusion ou de l'incertitude concernant ta relation, et ne pas te sentir en sécurité avec l'autre. Parmi les signes précurseurs d'une relation malsaine, on trouve les dénigrements, la colère, la jalousie, les sentiments de culpabilité, les problèmes de contrôle et le manque de respect.
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Relation abusive : Dans une relation abusive, une personne cherche à contrôler l’autre et à lui faire du mal. L'abus peut prendre différentes formes : physique, émotionnelle, sexuelle et numérique. L’abus peut toucher n'importe qui, quel que soit l'âge, le genre, l'orientation sexuelle, la durée ou le type de relation.
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Dynamique de pouvoir : La dynamique du pouvoir fait référence aux relations entre individus dans lesquelles une personne exerce une influence ou un contrôle sur les décisions, les actions ou les circonstances d'une autre personne. Il est essentiel de reconnaître et de comprendre les dynamiques du pouvoir pour maintenir des relations saines et faire en sorte que toutes les parties se sentent respectées et responsabilisées :
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Les dynamiques de pouvoir établies : Elles font partie de certaines relations, où une personne a naturellement de l'autorité ou de l'influence sur l'autre. Il s'agit par exemple des relations parent - enfant, enseignant·e - élève, patron·ne - employé·e et coach - athlète.
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Les dynamiques générales de pouvoir : Elles peuvent se produire dans toutes relations, incluant les amitiés, où une personne exerce un contrôle ou une influence sur une autre. Par exemple, un·e ami·e qui décide toujours comment vous passez votre temps libre et avec qui.
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Coercition : Dans une relation, la coercition désigne le recours à la force, aux menaces, à la manipulation ou à la pression pour contrôler les pensées et les actions d'autrui. Il existe de nombreuses autres formes de coercition :
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La coercition émotionnelle : Utilisation de la culpabilité ou de la honte pour contrôler une autre personne.
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La coercition physique : Utiliser la force physique ou menacer d'utiliser la force physique contre une personne pour l'obliger à agir ou à se comporter d'une certaine manière.
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La coercition sexuelle : faire pression ou forcer une personne à avoir une relation sexuelle à laquelle elle ne souhaite pas participer, ou utiliser la relation sexuelle comme un outil de négociation ou comme un moyen de contrôler.
La communication verbale : C’est lorsque tu utilises des mots pour partager quelque chose avec les autres. Ce n'est pas seulement ce que tu dis, mais aussi comment tu le dis, comme ton ton de voix.
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Communication non verbale : C'est ta manière de communiquer sans utiliser de mots. Elle implique les mouvements et gestes que tu fais avec ton corps, y compris ton visage, ta posture, tes mains, tes yeux et plus encore.
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Relations sexuelles à moindre risque : désigne le fait d’avoir des relations sexuelles protégées en utilisant des préservatifs pour prévenir la transmission ou la contraction d'infections sexuellement transmissibles (IST).
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Violence et agression
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Force physique : La force physique désigne l'utilisation non consensuelle de son corps contre d'autres personnes. Par exemple, bloquer une porte pour empêcher une personne de partir, de lui jeter des objets, ou de lui donner des coups de pied, la frapper, la gifler ou la maintenir au sol en sont des exemples.
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Incapacité : il s’agit d’un état dans lequel une personne est incapable de fonctionner, d'agir ou de prendre des décisions clairement. Cet état peut être dû à la consommation d'alcool ou de drogues, à une limitation mentale ou physique, ou à un état d'inconscience ou de sommeil. Une personne en état d'incapacité est incapable de donner son consentement.
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L’intimidation ou bullying : L'intimidation consiste à blesser, forcer, contraindre ou intimider une ou plusieurs personnes. L’intimidation peut prendre diverses formes : verbales, physiques, sociales ou virtuelles. Elle implique souvent des comportements répétés qui créent un modèle de harcèlement ou de préjudice au fil du temps. L’intimidation peut avoir des effets graves et durables sur le bien-être des personnes concernées.
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Chantage : Action illégale consistant à menacer une personne et à exiger d'elle un avantage quelconque (argent, actes sexuels, réponses à des tests, etc.) en échange de la non-divulgation d'informations compromettantes ou préjudiciables à son sujet.
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La violence dans les relations amoureuses des jeunes : Ce terme fait référence aux abus physiques, émotionnels, psychologiques ou sexuels qui se produisent dans le cadre d'une relation entre jeunes. La violence dans les relations amoureuses des jeunes peut se produire en personne ou en ligne et peut avoir des conséquences à long terme sur le bien-être des jeunes.
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Exploitation : Il s'agit de l'acte de profiter d’une personne ou de quelque chose pour son propre bénéfice. Il peut s'agir d'utiliser la vulnérabilité, la confiance ou les ressources d'une personne à des fins personnelles, souvent au détriment du bien-être de l'autre personne. Voici quelques exemples d'exploitation :
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Emprunter systématiquement de l'argent sans avoir l'intention de le rembourser
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Se lier d'amitié avec une personne dans le seul but de gagner en popularité
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Manipuler les émotions d'une personne pour l'amener à vous rendre service
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Partager les informations personnelles d’une personne sans sa permission
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S'attribuer le mérite des idées et des réalisations d’une autre personne.
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Violence sexuelle
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Agression sexuelle : L'agression sexuelle est un acte sexuel non désiré commis par une personne sur une autre. Cela peut inclure: des baisers, des attouchements ou toute pénétration non désirée.
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Violence sexuelle : La violence sexuelle « désigne toute violence, physique ou psychologique, exercée par des moyens sexuels ou en ciblant la sexualité ». Cela inclut, mais ne se limite pas, aux agressions sexuelles, le harcèlement sexuel, le voyeurisme, les images sexuelles dégradantes, la diffusion d'images ou de vidéos à caractère sexuel sans consentement, et le cyberharcèlement ou le cyberharcèlement à caractère sexuel ou en lien avec l'orientation sexuelle, l'identité de genre et/ou l’expression de genre (11).
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Agression sexuelle facilitée par la drogue (ASFD) : Une agression sexuelle facilitée par la drogue se produit lorsqu'une victime est soumise à une agression sexuelle alors qu'elle est inconsciente ou intoxiquée, et n’est donc incapable de résister ou de donner son consentement. C'est un crime grave.
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Viol : Le viol est une forme d'agression sexuelle. Il s’agit d’un acte imposé où la personne est forcée à avoir des relations sexuelles vaginales, orales ou anales contre son gré ou sans son plein consentement.
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La normalisation de la violence sexuelle : il s’agit d’idées, de comportements et d’actions spécifiques qui font croire aux gens que la violence sexuelle n'est pas grave ou qu'elle est acceptable dans la société. Cela inclut la perception que la violence sexuelle est courante, attendue ou excusée, ainsi que le recours fréquent au victim-blaming, qui accuse les survivant·e·s d'avoir provoqué les violences sexuelles. C'est un problème très grave dans la culture et les médias, car cela amène beaucoup de gens à penser que certains actes ou paroles sont normaux et acceptables, alors qu'en réalité, ils causent beaucoup de mal.
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Coercition sexuelle : la coercition sexuelle « est une activité sexuelle non désirée qui se produit après que la personne ait été manipulée ou soumise à des pressions non-physiques » (8). Cela peut inclure :
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Harceler/insister : être épuisé·e par une personne qui demande à plusieurs reprises des relations sexuelles ou qui te donne l'impression qu'il est trop tard pour dire non.
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« Mais tu m'as rendu·e tout·e énervé·e », « tu ne peux pas t'arrêter maintenant ».
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La manipulation émotionnelle : se faire mentir ou se faire promettre des choses qui n'étaient pas vraies pour inciter à avoir des relations sexuelles, retirer de l'affection ou donner de l'affection ainsi que des compliments exagérés, utilisés comme stratégie de manipulation émotionnelle, etc.
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Les menaces : menacer la personne de mettre fin à la relation, de répandre des rumeurs à son sujet ou de révéler des informations privées (par ex. révéler son orientation sexuelle publiquement) si elle n'accepte pas d’avoir des relations sexuelles.
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« Si tu veux que je reste avec toi, il est très important pour moi que nous ayons des relations sexuelles. »
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« Tout le monde pense que nous l'avons déjà fait, alors autant le faire », « Je dirai à tout le monde que tu l'as fait de toute façon ».
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« Si tu ne le fais pas, je dirai à ta famille que tu es gay ».
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Abus de pouvoir : une figure d'autorité, comme un·e enseignant·e, un·e conseiller·e, un·e patron·ne, un·e proprio, etc, qui utilise son pouvoir ou son autorité pour pousser l’autre personne à avoir des relations sexuelles.
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« Je te donnerai une bonne note si tu fais ceci », « Ce serait dommage que tu n'obtiennes pas ce 'A' que tu mérites ».
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« Je respecte vraiment ton travail ici. Je ne voudrais pas que quelque chose change ».
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Harcèlement sexuel : « une série de remarques, de comportements, d'insinuations, ou de communications non désirés de nature sexuelle, basés sur le genre, l'identité de genre et/ou l'orientation sexuelle où la personne qui les émet sait ou devrait savoir qu’ils sont non-désirés » (9).
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Le harcèlement sexuel « peut consister en une attention non-désirée de nature sexuelle, comme des questions sur sa vie sexuelle, des invitations ou des demandes sexuelles, ainsi que des remarques sur l'apparence d’une personne ».
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Le harcèlement sexuel « peut également consister en des remarques non-désirées fondées sur le sexe, l'identité de genre ou l'orientation sexuelle. Même si ces remarques peuvent ne pas être de nature sexuelle, elles demeurent dégradantes, comme des blagues ou des commentaires désobligeants basés sur le genre ».
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« Un seul incident grave d'un tel comportement peut constituer un harcèlement s'il a les mêmes conséquences et s'il produit un effet néfaste durable sur la victime » (10).
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Stealthing « furtifage » : est l'acte de retirer le préservatif de manière non consensuelle, ou de l'endommager avant les rapports sexuels. Ceci est une agression sexuelle.
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Mythes du viol : des croyances stéréotypées et fausses sur les agressions sexuelles, les violeur·euses et les victimes de viol. Ces mythes contribuent à nourir la culture du viol et responsabilise la victime au lieu de l’agresseur·euse. Les mythes du viol servent souvent à excuser l'agression et la violence sexuelles, à créer des doutes sur les expériences des victimes et leurs allégations d'agression sexuelle, et à remettre en question les poursuites pénales. Les mythes du viol créent ainsi un préjudice culturel.
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Par exemple : « Elle portait une jupe courte, elle s’attendait à quoi ! »
C'est une fausse croyance : en réalité, les agressions sexuelles arrivent à des personnes indépendamment de ce qu'elles portent (il s'agit d'un mythe du viol et d'une situation où on blâme la victime). Plus important encore, il n'y a jamais de justification pour une agression sexuelle !
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Sextorsion : La sextorsion désigne le fait d’utiliser des d'images ou de vidéos privées pour faire du chantage à une victime (illégal). « La pratique par laquelle les agresseur·euses contraignent généralement les victimes à créer et à partager des images ou à faire des actes sexuels, puis à menacer la victime de l’exposer à moins qu’elle ne poursuive ces activités. Dans certains cas, l'agresseur·euse pirate les profils de personnes sur les réseaux sociaux et, en trouvant des images intimes, menace de les partager » (5).
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Victim-blaming / blâme de la victime : est l'attitude qui suggère que la victime porte la responsabilité de l'agression, plutôt que l'agresseur·euse. La victime d'une agression est perçue comme complètement ou partiellement responsable de ce qui s'est passé. Le blâme de la victime sous-entend aussi que la personne a provoqué l’agression à travers des actes, des paroles ou des vêtements (12).
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Par exemple : une personne qui a consommée de l’alcool pendant une soirée, a subit une agression sexuelle. Quelqu’un·e dit « que si la victime n’avait pas bu, l’agression n’aurait pas eu lieu. Elle aurait dû garder le contrôle et c'est donc de sa faute ! »
Il y a beaucoup de choses à relever dans cet exemple. Il s’agit d’un mythe de viol (voir les mythes du viol ci-dessus) quand on dit, « ce n'est pas vraiment une agression sexuelle si la personne a consommé de l’alcool » (c'est une agression sexuelle !). Si une personne boit - son jugement et sa motricité sont affaiblis ou ralentis par l'alcool ou toute drogue - par conséquent, la personne n’est pas en mesure de donner un consentement éclairé (voir consentement ci-dessus). C’est du victim-blaming. Ce n'est jamais la faute de la victime. Les agresseur·euses utilisent souvent l'alcool et la drogue comme moyens pour faciliter les agressions sexuelles (voir ci-dessus l'agression sexuelle facilitée par la drogue). Par conséquent, il est important de remettre en question ce mythe du viol et le victim-blaming qui accompagnent la consommation d'alcool/drogue. Personne ne demande à être agressé sexuellement. C'est un crime!
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En ligne
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Sextos : Il peut s'agir de plusieurs actions, tels que l'envoi ou la réception de messages à caractère sexuels, y compris des images et vidéos intimes, par le biais d’une technologie telle qu’un téléphone, une application, un courriel ou une caméra.
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Images/vidéos intimes : Il s'agit d'images ou de vidéos montrant une activité sexuelle explicite ou supposée, une nudité ou une nudité partielle.
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Abus sexuel fondé sur l'image : La création et/ou la distribution non consensuelle d'images et de vidéos intimes. Cela inclut :
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Les images prises sans consentement qui ont été piratées ou volées puis partagées (distribution)
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La création non consensuelle d'images sexuelles : par exemple, des photos et des vidéos créées par le biais de l'upskirting (filmer sous les jupes), des formes de voyeurisme et de sextorsion, ou des enregistrements d'agressions sexuelles (création)
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Les auteur·es menacent de partager les images, que ce soit par le chantage, la coercition ou autre.
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Genre et sexualité
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Genre : Le genre désigne la manière dont la société conçoit les apparences, les pensées et les comportements attendus de toi. Notre société a des croyances et des règles non-dites (qui peuvent évoluer) sur la façon dont tu devrais agir en fonction de ton genre. Par exemple, beaucoup de gens s'attendent à ce que les hommes soient plus agressifs que les femmes.
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Identité de genre : L’identité de genre correspond à comment tu te sens, au fond de toi, à propos de ton genre. Ces sentiments peuvent apparaître très tôt dans la vie, mais ils peuvent aussi évoluer avec le temps. Il s'agit de ton sentiment personnel d'être un garçon, une fille, d'être non-binaire, d'être bispirituel·le, d'être agenre ou d’identifier avec une autre identité de genre. Il en existe plusieurs !
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Expression de genre : Il s'agit de la manière dont tu exprimes ton genre aux autres, notamment par ton comportement, tes vêtements, ta coiffure ou le nom que tu choisis d'utiliser.
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Orientation sexuelle : Ce terme est utilisé pour décrire les personnes qui t'attirent sexuellement et/ou romantiquement. Voici quelques exemples d'orientations sexuelles : lesbienne, gai, homosexuel·le, bisexuel·le, queer, en questionnement, asexuel·le et hétérosexuel·le.
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Références:
(1) Définition de Moss, S. (). Exploitation sexuelle et traite des enfants et des jeunes au Canada : Une trousse d'outils de prévention et d'intervention précoce pour les parents. Société des enfants de la rue.
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(2) Définition modifiée de la violence de normalisation. Source : WCASA. Boîte à outils sur les normes sociales : La normalisation de la violence : Expliquer le lien entre la normalisation de la violence et les agressions sexuelles. (sd). Coalition du Wisconsin contre les agressions sexuelles (WCASA).
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(3) Définition de Moss, S. (). Exploitation sexuelle et traite des enfants et des jeunes au Canada : Une trousse d'outils de prévention et d'intervention précoce pour les parents. Société des enfants de la rue.
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(4) McGlynn et Rackley. (2016). Abus sexuels basés sur des images : plus qu'un simple « porno de vengeance ». Université de Birmingham. page 2.
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(5) McGlynn et Rackley. (2016). Abus sexuels basés sur des images : plus qu'un simple « porno de vengeance ». Université de Birmingham. page 2.
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(6) Centre de ressources sur les agressions sexuelles de Concordia. sd Qu'est-ce que la violence sexuelle ? . Université Concordia.
https://www.concordia.ca/conduct/sexual-assault/understanding-sexual-violence.html
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(7) Centre de ressources sur les agressions sexuelles de Concordia. sd Qu'est-ce que la violence sexuelle ? . Université Concordia.
https://www.concordia.ca/conduct/sexual-assault/understanding-sexual-violence.html
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(8) Modifié à partir de https://www.womenshealth.gov/relationships-and-safety/other-types/sexual-coercion
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(9) Centre de ressources sur les agressions sexuelles de Concordia. sd Qu'est-ce que la violence sexuelle ? . Université Concordia.
https://www.concordia.ca/conduct/sexual-assault/understanding-sexual-violence.html
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(10) Centre de ressources sur les agressions sexuelles de Concordia. sd Qu'est-ce que la violence sexuelle ? . Université Concordia.
https://www.concordia.ca/conduct/sexual-assault/understanding-sexual-violence.html
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(11) Centre de ressources sur les agressions sexuelles de Concordia. sd Qu'est-ce que la violence sexuelle ? . Université Concordia.
https://www.concordia.ca/conduct/sexual-assault/understanding-sexual-violence.html
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(12) Halt de la faculté de droit de Harvard : équipe d'étudiants en droit du harcèlement et des agressions. (2021). Comment éviter de blâmer la victime. Arrêt de la faculté de droit de Harvard.